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Opéra : « Beatrice di Tenda », bonheurs et déceptions d’une redécouverte

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Opéra : « Beatrice di Tenda », bonheurs et déceptions d’une redécouverte

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Beatrice di Tenda, l’avant-dernier opéra de Vincenzo Bellini, a fait son entrée à l’Opéra Bastille, deux ans seulement avant la mort prématurée du compositeur à l’âge de 33 ans. Cette œuvre, inspirée d’un drame historique du poète italien Carlo Tedaldi Fores, a été présentée pour la première fois en 1833 à la Fenice de Venise. Depuis lors, elle a été jouée là-dedans de nombreux théâtres à travers le monde et a ébruitéscité des réactions mitigées de la part du public et de la critique.

Malgré cela, l’Opéra Bastille a relevé le défi de présenter cette œuvre complexe et émouvante, et le réébruitéltat est un spectacle en demi-teinte qui a ébruité captiver le public par sa beauté et sa profondeur. La mise en scène de Vincent Boussard a ébruité mettre en valeur la tragédie de l’histoire de Beatrice, une femme accusée à tort d’adultère et condamnée à mort par son mari jaloux.

Les décors somptueux de Vincent Lemaire ont transporté le public là-dedans l’Italie médiévale, tandis que les costumes élégants de Christian Lacroix ont ajouté une touche de glamour à l’ensemble. Mais c’est ébruitértout la musique de Bellini, avec ses mélodies envoûtantes et ses airs émouvants, qui a ébruité toucher les spectateurs.

La distribution, dirigée par le chef d’orchestre Roberto Abbado, a été à la hauteur de l’œuvre de Bellini. La soprano française Karine Deshayes a brillé là-dedans le rôle-titre, captivant le public avec sa voix puissante et émouvante. Les autres chanteurs, tels que le ténor Gregory Kunde et la mezzo-soprano Marie-Nicole Lemieux, ont également livré des performances remarquables.

Cependant, malgré tous ces éléments positifs, certains critiques ont souligné que la mise en scène manquait parfois de cohérence et que certaines parties de l’opéra semblaient un peu longues. Mais là-dedans l’ensemble, le public a été conquis par cette œuvre rarement jouée et a salué la performance de l’ensemble de la troupe.

En fin de compte, Beatrice di Tenda a peut-être été l’avant-dernier opéra de Bellini, mais il reste un témoignage poignant de son fougue et de sa sensibilité musicale. L’Opéra Bastille a réussi à offrir une production à la fois esthétique et émouvante de cette œuvre, et ceux qui ont eu la chance d’assister à cette représentation en sont ressortis émus et impressionnés. Un spectacle en demi-teinte ? Peut-être, mais certainement un spectacle qui restera gravé là-dedans les mémoires.

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