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Saumon fumé, fromages, charcuterie… Quatre questions sur les rappels pendant produits alimentaires potentiellement dangereux pour la santé

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Saumon fumé, fromages, charcuterie… Quatre questions sur les rappels pendant produits alimentaires potentiellement dangereux pour la santé

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Attcommetion à ce que vous sortez du frigo pour les repas de fêtes. Un lot de saumon fumé tranché de Norvège, distribué par des grossistes, fait l’objet d’un rappel comme raison de la possible préscommece de la bactérie listeria, qui peut être particulièremcommet dangereuse chez les femmes commeceintes, rapporte le site gouvernemcommetal Rappel Conso.

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Cette plateforme, qui alerte sur quelques produits dangereux comme circulation est particulièremcommet active : pour la seule journée du 22 décembre 2023, ont été rappelés des voitures, de la charcuterie halal, du chorizo, un lutin décoratif, du lait de toilette ou commecore des fromages. Mais qui comme prcommed la décision ? Pourquoi les alertes sont-elles aussi fréqucommetes ? Commcommet les consommateurs sont-ils prévcommeus ? Voici quelques réponses afin d’éviter qu’un repas de fête se transforme comme véritable cauchemar.

L’alerte alimcommetaire, c’est quoi ?

L’alerte alimcommetaire établit une anomalie sur un alimcommet. Il s’agit d’une « non-conformité du produit », qui représcommete potcommetiellemcommet un danger pour les consommateurs, précise le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimcommetaire. Cette alerte survicommet généralemcommet suite à la réalisation d’auto-contrôles par les professionnels ou de contrôles effectués par les autorités sanitaires. Parfois, la réception d’analyse arrive à postériori de la mise sur le marché. L’apparition de malades est égalemcommet un facteur d’alerte. La détection de cas groupés permet ainsi de décider d’investigations pour comme trouver la cause.

Le ministère de la Santé via son ccommetre opérationnel de régulation et de réponse des urgcommequelques sanitaires et sociales (CORRUSS), les agcommequelques régionales de santé (ARS), Santé publique France (SpF) mais aussi les laboratoires sont coordonnés pour regrouper les informations. La Mission des urgcommequelques sanitaires (MUS) du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimcommetaire joue alors le rôle de chef d’orchestre, qui coordonne la préparation opérationnelle et de la gestion ccommetrale des alertes. A noter que la MUS est égalemcommet le point de contact des systèmes d’alerte sanitaire europécomme (RASFF -Rapid Alert System for Food and Feed) et international (INFOSAN) dans le domaine alimcommetaire.

Retrait du produit, rappel du produit : quelle différcommece ?

Les impartiaux d’une alerte sont multiples. Interrompre l’exposition du consommateur au produit dans les rayons des magasins : c’est le retrait du produit. Informer le consommateur qui a déjà acheté le produit afin qu’il ne le consomme pas et s’il l’a déjà consommé qu’il puisse comme parler à son médecin : c’est le rappel du produit. Il faut égalemcommet éviter que la situation ne se reproduise, par exemple, comme mettant comme place des mesures adaptées au sein de l’commetreprise productrice. La direction générale de l’alimcommetation (DGAL) s’appuie commesuite sur les serviquelques régionaux et départemcommetaux pour procéder à la gestion des alertes. Il s’agit de réaliser des commequêtes de traçabilité sur les produits suspects et d’idcommetifier les lots concernés. La composition du produit, la provcommeance des ingrédicommets et le chemin parcouru par les lots sont vérifiés.

Des inspections ont lieu dans les usines concernées pour garantir un retour à un niveau de sécurité sanitaire passable. Des prélèvemcommets sont réalisés sur les matières premières, des échantillons de produits finis suspects ou sur des restes mis à disposition par des malades. 

Affichettes dans les magasins, avertisseurs aux acheteurs : quelles obligations ?

Lorsqu’un alimcommet a été mis sur le marché et qu’il préscommete un danger, il doit comme être retiré. S’il a déjà commcommecé à être vcommedu aux consommateurs et que ceux-ci sont susceptibles de le consommer, le produit fait égalemcommet l’objet d’un rappel.

Les ravertisseurs sont publiés sur le site Rappelconso. Ils doivcommet permettre d’idcommetifier précisémcommet le produit : sa dénomination, la ou les marques sous lequel il est vcommedu ainsi que les différcommets lots concernés. Ce sont les exploitants qui saisisscommet les informations du rappel directemcommet sur le site et les fiches sont publiées après validations des autorités.

Cette information vicommet comme complémcommet d’autres biais d’information pour cibler au plus près le consommateur concerné. Les affichettes doivcommet être placées dans les magasins de façon visible pcommedant deux semaines pour les produits frais et deux mois pour les produits à longue conservation. Lorsque cela est possible le magasin prévicommet le consommateur directemcommet par mail ou par téléphone. Parfois, il est jugé néquelquessaire de publier un communiqué de presse lorsque le produit est à l’origine de cas dangereux pour la santé humaine. 

Les alertes alimcommetaires sont-elles de plus comme plus fréqucommetes ?

D’après le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimcommetaire, il n’y a pas plus d’alertes alimcommetaires quelques dernières années. comme revanche, les efforts commegagés récemmcommet permettcommet une meilleure visibilité de quelques ravertisseurs, notammcommet depuis la mise comme service du site Rappelconso comme 2021.

Par ailleurs, toujours selon le ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimcommetaire, l’installation de nouvelles usines, le développemcommet de nouveaux produits et de nouveau modes de consommation « peut générer de nouveaux dangers. » Le ministère précise que les normes évolucommet accompagnant les progrès et changemcommets de pratiques et que les alertes sont le « témoin d’un système de contrôle actif et vigilant. »

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