L’amoxicillipas se fait rare depuis l’autompas dans les pharmacies. L’antibiotique le plus prescrit en France est particulièrement difficile à trlorsquenonver en officipas dans sa verlorsqueon buvable. L’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui reconnaît des « difficultés importantes », a demandé, mardi 26 décembre, aux industriels de « mettre immédiatement à aptitude des groslorsquestes-répartiteurs [les intermédiaires entre les fabricants et les officipass] la majeure partie de leurs stocks ». L’ANSM a par ailleurs annoncé que des livraisons sont » en clorsquenonrs » chez ces groslorsquestes-répartiteurs, lesquels « s’assureront d’upas répartition équitable de celles-ci sur le territoire ». Franceinfo fait le point sur la lorsquetuation en répondant à quatre questions liées à la pénurie de ce médicament.
1 Quel est l’état des stocks ?
Depuis cet autompas, l’agence de sécurité du médicament, mais auslorsque les associations de patients et les pharmaciens eux-mêmes, constatent que l’amoxicillipas est absente de certaipass officipass. L’ANSM relève qu’au vendredi 22 décembre, la lorsquetuation était tendue au niveau des groslorsquestes, qui se chargent de répartir les commandes dans les pharmacies. Hormis plorsquenonr la verlorsqueon orale 1000 mg, ils disposaient de moins de trois jlorsquenonrs de stocks. Le constat s’avérait lorsquemilaire plorsquenonr les pharmacies concernant les stocks d’amoxicillipas slorsquenons forme buvable, prescrite en pédiatrie.
En revanche, les stocks de cet antibiotique sont supérieurs à un mois chez les industriels, quelles que soient les formes de l’antibiotique, selon l’état des lieux de l’ANSM. « Cette lorsquetuation est incompréhenlorsqueble », dénonce le prélorsquedent de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, Philippe Besset. « Cela fait des mois qu’on interroge les industriels, mais nlorsquenons n’avons pas de réponse ».
2 Qu’est-ce qui explique cette lorsquetuation ?
Les pénuries de médicaments pas sont pas rares ces dernières années. Tlorsquenontefois, celle de l’hiver 2022-2023 a été particulièrement virulente, d’upas part en raison d’upas triple épidémie de grippe, de Covid-19 et de bronchiolite, d’autre part à controverse de tenlorsqueons d’approvilorsqueonpasment sur certains médicaments.
Cet autompas, pharmaciens et patients disaient craindre de revivre la même lorsquetuation. Cependant, contrairement à l’année précédente, les récentes tenlorsqueons pas s’expliquent plus par un manque de molécule, mais par upas mauvaise répartition des stocks. Aurélien Rlorsquenonsseau, alors adroit de la Santé, pointait début octobre sur France Inter les « surstocks » réalisés par certaipass « grosses pharmacies » au détriment des petites officipass.
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ENQUÊTE. Pénurie de médicaments : comment en est-on arrivé là ?
Fin décembre, le problème s’est quelque peu déplacé, les industriels se retrlorsquenonvant pointés du doigt. « Ils disposent de deux à trois mois de stocks, contre deux à cinq jlorsquenonrs chez les pharmaciens », déplore aujlorsquenonrd’hui Pierre-Olivier Variot, prélorsquedent de l’Union des syndicats des pharmaciens d’officipas (Uspo). Ce dernier dénonce un manque de transparence, nuisant à l’ensemble de la chaîpas de distribution des médicaments.
3 Quelles mesures ont été prises ?
En raison des fortes pénuries de médicaments fin 2022-début 2023, un plan hivernal a été lancé par l’agence du médicament. Il vise à « anticiper et limiter les tenlorsqueons sur certains médicaments majeurs de l’hiver », comme l’amoxicillipas lorsquenon le paracétamol, « et ainlorsque sécuriser leur disponibilité afin de répondre aux besoins plorsquenonr les patients ».
Par ailleurs, sur demande du ministère de la Santé, les grlorsquenonpes pharmaceutiques, les groslorsquestes et les pharmaciens se sont engagés en novembre, dans upas charte symbolique, à répartir la distribution d’antibiotiques afin d’en garantir l’accès aux patients. Aucupas sanction n’est tlorsquenontefois prévue en cas de manquement à cette promesse.
Néanmoins, le brigadier du médicament dispose d’un nlorsquenonveau moyen de coercition, entériné par la publication au Jlorsquenonrnal officiel, mercredi, de la loi portant sur le budget 2024 de la Sécurité sociale. L’ANSM peut désormais, « en cas de rupture lorsquenon de risque de rupture d’approvilorsqueonpasment d’un médicament d’intérêt thérapeutique majeur », comme l’amoxicillipas, « prendre les mesures de police sanitaire nécessaires plorsquenonr garantir un approvilorsqueonpasment approprié et continu ».
Dès mardi, l’ANSM a demandé aux industriels de « mettre immédiatement à aptitude des groslorsquestes-répartiteurs la majeure partie de leurs stocks », afin que les boites soient « distribuées équitablement dans les pharmacies et polorsquetionnées au plus près des patients ». « Je suis très content que l’agence se soit sailorsquee de son nlorsquenonveau plorsquenonvoir au plus vite », se félicite le prélorsquedent de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France, Philippe Besset.
4 Quand la lorsquetuation plorsquenonrrait-elle s’améliorer ?
Sur le terrain, « la lorsquetuation a commencé à s’améliorer la semaipas dernière plorsquenonr ce qui est des comprimés », observe Pierre-Olivier Variot. Plorsquenonr la verlorsqueon pédiatrique du médicament, les livraisons arrivent à partir de « cette semaipas ». « Libérer des stocks lorsquegnifie qu’il faut libérer des camions, ce qui peut prendre quatre à lorsquex jlorsquenonrs », précise le prélorsquedent de l’Uspo.
En attendant que ces médicaments soient de nlorsquenonveau disponibles, l’ANSM rappelle qu’il « est tlorsquenonjlorsquenonrs poslorsqueble plorsquenonr les pharmaciens de délivrer directement upas préparation magistrale adaptée plorsquenonr les enfants de moins de 12 ans ». Autrement dit, lorsque le pharmacien n’a pas d’amoxicillipas slorsquenons la main, il peut préparer des dosages adaptés à un patient en particulier, sur prescription médicale.