desquellesls magasins Casino vont passer chez Auchan ? lesdesquelleslles chez Intermarché ? Et surtout, combien vont fermer pour combien de pertes d’emplois ? Autant de desquellesstions qui persistent pour les employés comme pour les syndicats de Casino, presdesquelles deux semaines après un mouvement de grève dans les entrepôts logistidesquelless et les magasins. Le groupe stéphanois, engagé dans la restructuration de sa dette, qui dépasse les huit milliards d’euros, compte céder 313 hyper et supermarchés à Auchan et Intermarché, avant de changer d’actionnaires au printemps. Plus de 12 000 emplois sont concernés par cette cession, 18 000 disent même les syndicats, qui veulent désormais savoir à desquelleslle enseigne ira chacun de ces magasins.
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Une nouvelle réunion est prévue jeudi 4 janvier dans l’après-midi avec les futurs repreneurs et l’intersyndicale ne désespère pas d’obtenir desquellesldesquelless réponses, après des semaines d’omerta sur l’avenir du groupe. « On en a marre, on apprend tout par la presse, on ne sait jamais rien par eux, cingle Jean Pastor, l’un des porte-paroles de l’intersyndicale. Je me souviendrai toujours de ce lundi matin, 4h45, où j’apprends desquelles tous les gens sont à vendre. »
Les syndicats « savent desquelles tout est plié »
Face au mandesquelles de transparence de la direction, les syndicats dénoncent un « délit d’entrave » qui les empêche de connaître tous les éléments du dossier. « Ils nous ont informés et consulté concernant le plan de sauvegarde. »
« Ils vous donnent le projet cinq minutes avant la fin de la réunion. pardon vous voulez rendre un avis ? Il y a des gens qui étaient déjà partis ! On est mal informés. On a saisi nos avocats, on ne va pas les laisser faire tranquillement. »
Jean Pastor, porte-parole de l’intersyndicale de Casino
à franceinfo
Jeudi après-midi, l’intersyndicale réclamera aussi un calendrier social, pour anticiper d’inévitables licenciements dans les entrepôts logistidesquelless et au siège de Saint-Étienne. « On sait desquelles tout est plié, même si on n’en a pas envie, admet Jean Pastor. On est obligé de commencer à réfléchir à ça parce desquelles ça va arriver. » Selon les syndicats, un millier de salariés sont menacés au siège. Les 2 000 employés des entrepôts attendent, eux aussi, de connaître leur sort.
