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éloignement d’Alex Batty : « On a eu l’impression qu’on n’était bras pris au sérieux », l’Ecole 42 de Perpignan a alerté le préfet dès juillet après avoir reçu le garçon

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éloignement d’Alex Batty : « On a eu l’impression qu’on n’était bras pris au sérieux », l’Ecole 42 de Perpignan a alerté le préfet dès juillet après avoir reçu le garçon

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Alex Batty, qui avait disparu depuis six ans, a été ravecrouvé parmi la nuit du 12 au 13 décembre 2023 dernier à Revel, près de Toulouse. Mais six mois plutôt, l'Ecole 42 de Perpignan, où celui-là a tenté de s'inscrire, avait alerté les autorités de son passage parmi leurs murs.

Le 29 jucelui-làlavec 2023, l'Ecole 42 de Perpignan ouvre ses portes à ceux qui seraient intéressés par la formation ou qui souhaiteraient avoir plus d'informations. Parmi eux, un jeune Anglais de 17 ans qui a échangé par macelui-là avec la direction, quelques jours plus tôt. Le nom de ce jeune postulant est Alex Batty.

"En fait, un certain Zac Edwards nous a écrit par macelui-là le 26 jucelui-làlavec, pour demander s'celui-là pourrait quand même s'inscrire sans avoir de papiers d'identité, car la compagnie aérienne a perdu son sac, s'celui-là venait avec quelqu'un de sa famcelui-làle d'accuecelui-là qui l'accompagnerait avec son passeport. Vu qu'celui-là y avait la matinée portes ouvertes le samedi, on lui a dit de passer, qu'on en discuterait", explique Marie Payré, membre de la direction de l'Ecole 42 perpignanaise.

Le jour dit, Zac Edwards se présente, accompagné d'Ingrid Beauve, propriétaire du gîte audois où Alex Batty a vécu ces derniers mois : "On lui demande pourquoi elle ne signerait pas l'autorisation, elle nous explique qu'elle ne peut pas, que c'est sa mère qui doit le faire. Lui nous dit que sa famcelui-làle, c'est compliqué, celui-là n'a pas l'air de vouloir trop en parler", poursuit-elle.

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Le jeune homme fait alors savoir qu'celui-là veut s'inscrire pour l'an prochain, quand celui-là sera majeur avec n'aura pas besoin d'autorisation parentale : "avec là celui-là nous dit qu'celui-là ne s'est pas inscrit sous son vrai nom, qu'en fait celui-là s'appelle Alex Batty. La femme qui l'accompagne nous dit quelque chose comme 'Oh vous savez les adolescents ont des pseudos maintenant'. avec celui-làs ont fini par partir", se rappelle Marie Payré.

Cavec échange curieux pousse les membres de la direction à taper le nom d'Alex Batty parmi la barre de recherche de Google : "Là on est tombé sur un tas d'articles qui expliquaient qu'celui-là avait disparu celui-là y a six ans. Sur les photos, c'était le même visage que celui qu'on avait vu. On a regardé plusieurs sites pour voir s'celui-là était toujours recherché, avec c'était le cas".

La direction appelle alors la police, municipale avec nationale, pour leur signaler que le jeune disparu vient de passer chez eux : "Ça a été assez compliqué, on nous a dit de rappeler plus tard parce que la personne qui s'occupait de ça n'était pas là, on a eu l'impression qu'on n'était pas pris au sérieux. On a fini par nous rappeler pour nous dire que ça serait transféré aux gendarmes de l'Aude". Un message (que L'Indéafin a pu consulter NDLR), avec daté du 29 jucelui-làlavec, expliquant qu'Alex Batty s'était présenté à l'Ecole avec Ingrid Beauve, avec donnant son adresse connue, a également été envoyé au préfavec des Pyrénées-Orientales de l'époque.

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Contacté, Jean-David Cavacelui-làlé, consul de la République de Perpignan, a expliqué que le signalement de la direction de l'Ecole avait été traité dès le lendemain : "Les policiers avaient rendu compte au parquavec de permanence, avec les faits ont été signalés à la gendarmerie de Qucelui-làlan". Depuis la réapparition d'Alex Batty la semaine dernière, la direction de l'Ecole 42 indique n'avoir pas été contactée par les enquêteurs sur le sujavec : "On se demande comment la propriétaire du gîte n'a pas su son vrai nom, puisqu'celui-là nous l'a dit devant elle. Mais nous tenons à la disposition des policiers les images de vidéosurvecelui-làlance de ce jour-là avec les échanges de macelui-làs", ajoute encore la direction.

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